Jamais nos choix ne sont soumis à un contrôle plus rigoureux qu’à l’heure où, l’intérêt n’existant plus, seule l’idée du bien se dresse devant notre regard.
On en vient à s’affronter au sujet des mesures sanitaires de l’épidémie de coronavirus. Ne serait-ce pas une scission de façade ?
Boris Vian, dans l’écume des jours écrit que l’on a toute la vie pour réussir. Rien n’est joué à jamais en un instant.
Un texte d’E. Chouard permet d’aborder une ressource essentielle à l’engagement politique. La force de chacun fait l’union et non l’inverse.
Découvrez cet exercice tout simple. Il n’a de compliqué que de devoir être fait. Il est d’un grand secours quand nous manque quelque chose d’important.
Lors du procès de Nuremberg, Göring a déclaré : c’est facile d’amener le peuple à adhérer aux choix de leurs leaders.
Le temps semble passer… Mais en essayant de nous comprendre à travers le temps qui passe, nous passons à côté de l’essentiel.
Lorsque l’on est attentif à garder en conscience la direction, sans se projeter dans un résultat, de grandes choses deviennent possibles.
Victor Hugo nous raconte comment l’évêque de Digne, Mgr Myriel, accorda sa confiance à un ancien bagnard.