VACCIN ? NOUS AVONS LE CHOIX !
- Posté par Guillaume Lemonde
- Catégories Relation thérapeutique, Vidéos
- Date 15 octobre 2021
Médecin, chercheur, développe et enseigne la démarche Saluto dans ses différents champs d'application. Après des études de médecine à Lyon, il découvre la pédagogie curative et la sociothérapie, alliant la pédagogie et la santé. Pour lui, la question de toujours est d’offrir l’espace et les moyens permettant à chacun de devenir acteur de sa vie. Il ouvre un cabinet en Allemagne où il poursuit ses recherches dans le cadre de l’éducation spécialisée, puis en Suisse.
À partir de l’étude des grands chapitres de la pathologie humaine, il met en évidence quatre étapes de la présence à soi et au monde (1995) et découvre et développe à partir de cette recherche la Salutogénéalogie (2007) et la démarche Saluto (2014).
Il donne des conférences et des séminaires de formation pour enseigner cette démarche.
Il est auteur de publications faisant état de ses travaux.
4 Commentaires
La video sur “choix/non-choix” de la vaccination m’a bien aidée à assumer le mien (et par extension d’autres choix). Merci pour cette proposition.
Anne
si j’ai compris le raisonnement : les personnes qui ont fait le choix de ne pas se faire injecter une thérapie génique en phase expérimentale dont on ignore les effets à court et moyen terme mais qui ont déjà des effets secondaires immédiats pour certaines d’entre elles, ont fait le choix d’être exclues de tout lieu public y compris les bibliothèques, les lieux culturels, les universités dans la plus grande indifférence de celles qui ont fait le choix opposé. C’est ainsi qu’on s’habitue à tout, y compris à un totalitarisme qui vient……
Pas du tout. Il ne s’agit pas de s’habituer à un totalitarisme, mais de présider aux choix que l’on fait, quel que soit ce choix. Il ne s’agit pas de dire que ce qui se passe est bien, mais de décider ce que l’on fait avec ce qui se passe. Ce que chacun décide appartient à chacun, mais s’il y a bien une chose qui fait le jeu du totalitarisme, c’est de croire que l’on n’a pas le choix ! Ceux qui ont véritablement fait le choix de ne pas se faire vacciner, le vivent bien et ne subissent pas la situation, car ils président également aux conséquences de leur choix. Sinon ils les subissent, les vivent mal. En définitive, si on est à la cause de ce qui arrive, on peut devenir inventif. Sinon on reste déterminé par les événements qui ont raison de nous, on proteste, on se met en colère peut-être, on manifeste, mais on ne peut opposer aucune résistance efficace au totalitarisme que vous dénoncez, car on ne fait que réagir sans marge de manœuvre pour une action libre.
Merci Guillaume pour cet éclaircissement. Personnellement, je ne vis pas mal cette exclusion car au sens large je travaille beaucoup et contemple le monde : je la constate simplement et par moment, j’en souris. …mais aussi je la rappelle aux personnes qui pensent vivre comme dans ” le monde d’avant”, ne voyant pas que “le monde d’après” peut devenir pire. Persévérance et espoir….mais aussi lucidité m’aident beaucoup.
Salutations chaleureuses