Depuis les premières universités, l’humain est considéré, pour le meilleur et pour le pire, comme un fait extérieur. Quelle conséquence ?
L’absence de transcendance a rendu indispensable la quête du bonheur individuel. Une vie réussie n’est-elle pas une vie heureuse ?
La médecine nouvelle énonce que pour comprendre la nature d’une maladie, il s’agit de comprendre l’être qui en est atteint.
La nouvelle religion sanitaire s’appuie sur les mêmes leviers que la vieille religion : la peur et l’espoir.
La vrai opposition dans les types d’approches de santé, n’est pas de savoir s’il s’agit d’une médecine dure ou d’une médecine douce.
Les épidémies, par nature, sont des phénomènes sociaux. Elles circulent à travers les partages, les accolades, les poignées de mains…
On voit apparaitre une médecine totalitaire, contrôlant la vie publique et privée et n’admettant aucune opposition.
Aucune espèce de rapport entre les mesures de confinement à géométrie variable et les données de la science…
Cliquez ici pour découvrir un article de Saluto. Être hypocondriaque, ne serait-ce pas la manifestation d’une ressource encore à venir ?
Le docteur Knock, dont Jules Romain raconte l’histoire, a réussi à mettre tout un canton en confinement…